Un rêve !
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Un rêve !
Ce fil - que je veux consacré à l'écoute de pièces de choix - est inauguré avec THE DREAM OF GERONTIUS, l'opus 38 d'Edward ELGAR que je suis en train d'écouter dans la version d'anthologie dirigée par Benjamin Britten et chantée par Yvonne Minton, Peter Pears et John Shirley-Quirk. C'était sorti chez DECCA dans la British Collection (un petit bijou!), dans un coffret, avec The Hymn of Jesus de Gustav Holst. Je ne saurais que trop vous le recommander !
Petit extrait avec Dame Janet Baker :
Petit extrait avec Dame Janet Baker :
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Giustociel a écrit:Ce fil - que je veux consacré à l'écoute de pièces de choix - est inauguré avec THE DREAM OF GERONTIUS, l'opus 38 d'Edward ELGAR que je suis en train d'écouter dans la version d'anthologie dirigée par Benjamin Britten et chantée par Yvonne Minton, Peter Pears et John Shirley-Quirk. C'était sorti chez DECCA dans la British Collection (un petit bijou!), dans un coffret, avec The Hymn of Jesus de Gustav Holst. Je ne saurais que trop vous le recommander !
Petit extrait avec Dame Janet Baker :
Merci ! Je connaissais l'enregistrement Baker/Barbirolli, c'est très beau en effet !
Qu'appelles-tu exactement "^pièces de choix" ?
Alcina- Messages : 1206
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Localisation : The land where corals lie
Re: Un rêve !
Alcina a écrit:Giustociel a écrit:Ce fil - que je veux consacré à l'écoute de pièces de choix - est inauguré avec THE DREAM OF GERONTIUS, l'opus 38 d'Edward ELGAR que je suis en train d'écouter dans la version d'anthologie dirigée par Benjamin Britten et chantée par Yvonne Minton, Peter Pears et John Shirley-Quirk. C'était sorti chez DECCA dans la British Collection (un petit bijou!), dans un coffret, avec The Hymn of Jesus de Gustav Holst. Je ne saurais que trop vous le recommander !
Petit extrait avec Dame Janet Baker :
Merci ! Je connaissais l'enregistrement Baker/Barbirolli, c'est très beau en effet !
Qu'appelles-tu exactement "^pièces de choix" ?
Contrairement à ce que l'on entend généralement, j'entends par là des pièces que je choisis et qui ne sont pas des tubes , mais qui n'en sont pas moins des chefs-d'oeuvres. Je voudrais un peu sortir des Traviata/Bohème/Lucia en consacrant un peu de réalité virtuelle à des choses nettement moins connues qui ne sont pourtant pas des oeuvres mineures. Et c'est mon choix que je partage avec moi-même et que j'approuve... en quelque sorte...
Chacun peut faire pareil
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Re: Un rêve !
Ah mais avec Elgar tu commences assez fort ...
Alcina- Messages : 1206
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Re: Un rêve !
Alcina a écrit:Ah mais avec Elgar tu commences assez fort ...
Je voudrais continuer avec The Rape of Lucretia de Britten. Je l'écoute en ce moment, version 1946 Amsterdam avec Kathleen Ferrier et Peter Pears , direction Reginald Goodall...
La chair de poule que je vous dis, la chair de poule....
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Giustociel a écrit:
Contrairement à ce que l'on entend généralement, j'entends par là des pièces que je choisis et qui ne sont pas des tubes , mais qui n'en sont pas moins des chefs-d'oeuvres. Je voudrais un peu sortir des Traviata/Bohème/Lucia en consacrant un peu de réalité virtuelle à des choses nettement moins connues qui ne sont pourtant pas des oeuvres mineures. Et c'est mon choix que je partage avec moi-même et que j'approuve... en quelque sorte...
Chacun peut faire pareil
Je comprends ce que tu veux dire (sans bien sûr oublier les mérites respectifs de ces oeuvres. ).
Violetta- Messages : 2375
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Re: Un rêve !
Alors, pour alimenter cette rubrique de "rarities", le dernier mouvement du poème symphonique "Les Cloches" de Rachmaninov, c'est tellement beau !
Oeuvre inspirée par ce poème :
I
Hear the sledges with the bells-
Silver bells!
What a world of merriment their melody foretells!
How they tinkle, tinkle, tinkle,
In the icy air of night!
While the stars that oversprinkle
All the heavens, seem to twinkle
With a crystalline delight;
Keeping time, time, time,
In a sort of Runic rhyme,
To the tintinnabulation that so musically wells
From the bells, bells, bells, bells,
Bells, bells, bells-
From the jingling and the tinkling of the bells.
II
Hear the mellow wedding bells,
Golden bells!
What a world of happiness their harmony foretells!
Through the balmy air of night
How they ring out their delight!
From the molten-golden notes,
And an in tune,
What a liquid ditty floats
To the turtle-dove that listens, while she gloats
On the moon!
Oh, from out the sounding cells,
What a gush of euphony voluminously wells!
How it swells!
How it dwells
On the Future! how it tells
Of the rapture that impels
To the swinging and the ringing
Of the bells, bells, bells,
Of the bells, bells, bells,bells,
Bells, bells, bells-
To the rhyming and the chiming of the bells!
III
Hear the loud alarum bells-
Brazen bells!
What a tale of terror, now, their turbulency tells!
In the startled ear of night
How they scream out their affright!
Too much horrified to speak,
They can only shriek, shriek,
Out of tune,
In a clamorous appealing to the mercy of the fire,
In a mad expostulation with the deaf and frantic fire,
Leaping higher, higher, higher,
With a desperate desire,
And a resolute endeavor,
Now–now to sit or never,
By the side of the pale-faced moon.
Oh, the bells, bells, bells!
What a tale their terror tells
Of Despair!
How they clang, and clash, and roar!
What a horror they outpour
On the bosom of the palpitating air!
Yet the ear it fully knows,
By the twanging,
And the clanging,
How the danger ebbs and flows:
Yet the ear distinctly tells,
In the jangling,
And the wrangling,
How the danger sinks and swells,
By the sinking or the swelling in the anger of the bells-
Of the bells-
Of the bells, bells, bells,bells,
Bells, bells, bells-
In the clamor and the clangor of the bells!
IV
Hear the tolling of the bells-
Iron Bells!
What a world of solemn thought their monody compels!
In the silence of the night,
How we shiver with affright
At the melancholy menace of their tone!
For every sound that floats
From the rust within their throats
Is a groan.
And the people–ah, the people-
They that dwell up in the steeple,
All Alone
And who, tolling, tolling, tolling,
In that muffled monotone,
Feel a glory in so rolling
On the human heart a stone-
They are neither man nor woman-
They are neither brute nor human-
They are Ghouls:
And their king it is who tolls;
And he rolls, rolls, rolls,
Rolls
A paean from the bells!
And his merry bosom swells
With the paean of the bells!
And he dances, and he yells;
Keeping time, time, time,
In a sort of Runic rhyme,
To the paean of the bells-
Of the bells:
Keeping time, time, time,
In a sort of Runic rhyme,
To the throbbing of the bells-
Of the bells, bells, bells-
To the sobbing of the bells;
Keeping time, time, time,
As he knells, knells, knells,
In a happy Runic rhyme,
To the rolling of the bells-
Of the bells, bells, bells:
To the tolling of the bells,
Of the bells, bells, bells, bells-
Bells, bells, bells-
To the moaning and the groaning of the bells.
Et la traduction de Stéphane Mallarmé (pour le texte russe, je laisse la main à Mrs D qui en sera ravie )
Les Cloches
Edgar Allan Poe
Les Cloches
Entendez les traîneaux à cloches - cloches d’argent ! Quel monde d’amusement annonce leur mélodie ! Comme elle tinte, tinte, tinte, dans le glacial air de nuit ! Tandis que les astres qui étincellent sur tout le ciel semblent cligner, avec cristalline délice, de l’œil : allant, elle d’accord (d’accord, d’accord) en une sorte de rythme runique, avec la « tintinnabulisation » qui surgit si musicalement des cloches (des cloches, cloches, cloches, cloches, cloches, cloches) : du cliquetis et du tintement des cloches.
Entendez les mûres cloches nuptiales, cloches d’or ! Quel monde de bonheur annonce leur harmonie ! À travers l’air de nuit embaumé, comme elles sonnent partout leur délice ! Hors des notes d’or fondues, toutes ensemble, quelle liquide chanson flotte pour la tourterelle, qui écoute tandis qu’elle couve de son amour la lune ! Oh ! Des sonores cellules quel jaillissement d’euphonie sourd volumineusement ! Qu’il enfle, qu’il demeure parmi le Futur ! Qu’il dit le ravissement qui porte au branle et à la sonnerie des cloches (cloches, cloches - des cloches, cloches, cloches, cloches), au rythme et au carillon des cloches !
Entendez les bruyantes cloches d’alarme - cloches de bronze ! Quelle histoire de terreur dit maintenant leur turbulence ! Dans l’oreille saisie de la nuit comme elle crie leur effroi, trop terrifiées pour parler, elles peuvent seulement s’écrier hors de ton, dans une clameur d’appel à merci du feu, dans une remontrance au feu sourd et frénétique bondissant plus haut (plus haut, plus haut), avec un désespéré désir ou une recherché résolue, maintenant, de maintenant siéger, ou jamais, aux côtés de la lune à la face pâle. Oh ! Les cloches (cloches, cloches), quelle histoire dit leur terreur - de Désespoir ! Qu’elles frappent et choquent, et rugissent ! Quelle horreur elles versent sur le sein de l’air palpitant ! Encore l’ouïe sait-elle, pleinement, par le tintouin et le vacarme, comment tourbillonne et s’épanche le danger; encore l’ouïe dit-elle, distinctement, dans le vacarme et la querelle, comment s’abat ou s’enfle le danger, à l’abattement ou à l’enflure dans la colère des cloche, dans la clameur et l’éclat des cloches !
Entendez le glas des cloches - cloches de fer ! Quel monde de pensée solennelle comporte leur monodie ! Dans le silence de la nuit que nous frémissons de l’effroi ! À la mélancolie tenance de leur ton. Car chaque son qui flotte, hors la rouille en leur gorge - est un gémissement. Et le peuple - le peuple - ceux qui demeurent haut dans le clocher, tout seuls, qui sonnant (sonnant, sonnant) dans cette monotonie voilée, sentent une gloire à ainsi rouler sur le cœur humain en pierre - ils ne sont ni homme ni femme - ils ne sont ni brutes ni humains - ils sont des Goules : et leur roi, ce l’est, qui sonne ; et il roule (roule - roule), roule un Péan hors des cloches ! Et son sein content se gonfle dans ce Péan des cloches ! Et il danse, et il danse, et il hurle : allant d’accord (d’accord, d’accord) en une sorte de rythme runique, avec le tressaut des cloches - (des cloches, cloches, cloches), avec le sanglot des cloches; allant d’accord (d’accord, d’accord) dans le glas (le glas, le glas) en un heureux rythme runique, avec le roulis des cloches - (des cloches, cloches, cloches), avec la sonnerie des cloches - (des cloches, cloches, cloches, cloches, cloches, cloches - cloches, cloches, cloches) - le geignement et le gémissement des cloches.
Oeuvre inspirée par ce poème :
I
Hear the sledges with the bells-
Silver bells!
What a world of merriment their melody foretells!
How they tinkle, tinkle, tinkle,
In the icy air of night!
While the stars that oversprinkle
All the heavens, seem to twinkle
With a crystalline delight;
Keeping time, time, time,
In a sort of Runic rhyme,
To the tintinnabulation that so musically wells
From the bells, bells, bells, bells,
Bells, bells, bells-
From the jingling and the tinkling of the bells.
II
Hear the mellow wedding bells,
Golden bells!
What a world of happiness their harmony foretells!
Through the balmy air of night
How they ring out their delight!
From the molten-golden notes,
And an in tune,
What a liquid ditty floats
To the turtle-dove that listens, while she gloats
On the moon!
Oh, from out the sounding cells,
What a gush of euphony voluminously wells!
How it swells!
How it dwells
On the Future! how it tells
Of the rapture that impels
To the swinging and the ringing
Of the bells, bells, bells,
Of the bells, bells, bells,bells,
Bells, bells, bells-
To the rhyming and the chiming of the bells!
III
Hear the loud alarum bells-
Brazen bells!
What a tale of terror, now, their turbulency tells!
In the startled ear of night
How they scream out their affright!
Too much horrified to speak,
They can only shriek, shriek,
Out of tune,
In a clamorous appealing to the mercy of the fire,
In a mad expostulation with the deaf and frantic fire,
Leaping higher, higher, higher,
With a desperate desire,
And a resolute endeavor,
Now–now to sit or never,
By the side of the pale-faced moon.
Oh, the bells, bells, bells!
What a tale their terror tells
Of Despair!
How they clang, and clash, and roar!
What a horror they outpour
On the bosom of the palpitating air!
Yet the ear it fully knows,
By the twanging,
And the clanging,
How the danger ebbs and flows:
Yet the ear distinctly tells,
In the jangling,
And the wrangling,
How the danger sinks and swells,
By the sinking or the swelling in the anger of the bells-
Of the bells-
Of the bells, bells, bells,bells,
Bells, bells, bells-
In the clamor and the clangor of the bells!
IV
Hear the tolling of the bells-
Iron Bells!
What a world of solemn thought their monody compels!
In the silence of the night,
How we shiver with affright
At the melancholy menace of their tone!
For every sound that floats
From the rust within their throats
Is a groan.
And the people–ah, the people-
They that dwell up in the steeple,
All Alone
And who, tolling, tolling, tolling,
In that muffled monotone,
Feel a glory in so rolling
On the human heart a stone-
They are neither man nor woman-
They are neither brute nor human-
They are Ghouls:
And their king it is who tolls;
And he rolls, rolls, rolls,
Rolls
A paean from the bells!
And his merry bosom swells
With the paean of the bells!
And he dances, and he yells;
Keeping time, time, time,
In a sort of Runic rhyme,
To the paean of the bells-
Of the bells:
Keeping time, time, time,
In a sort of Runic rhyme,
To the throbbing of the bells-
Of the bells, bells, bells-
To the sobbing of the bells;
Keeping time, time, time,
As he knells, knells, knells,
In a happy Runic rhyme,
To the rolling of the bells-
Of the bells, bells, bells:
To the tolling of the bells,
Of the bells, bells, bells, bells-
Bells, bells, bells-
To the moaning and the groaning of the bells.
Et la traduction de Stéphane Mallarmé (pour le texte russe, je laisse la main à Mrs D qui en sera ravie )
Les Cloches
Edgar Allan Poe
Les Cloches
Entendez les traîneaux à cloches - cloches d’argent ! Quel monde d’amusement annonce leur mélodie ! Comme elle tinte, tinte, tinte, dans le glacial air de nuit ! Tandis que les astres qui étincellent sur tout le ciel semblent cligner, avec cristalline délice, de l’œil : allant, elle d’accord (d’accord, d’accord) en une sorte de rythme runique, avec la « tintinnabulisation » qui surgit si musicalement des cloches (des cloches, cloches, cloches, cloches, cloches, cloches) : du cliquetis et du tintement des cloches.
Entendez les mûres cloches nuptiales, cloches d’or ! Quel monde de bonheur annonce leur harmonie ! À travers l’air de nuit embaumé, comme elles sonnent partout leur délice ! Hors des notes d’or fondues, toutes ensemble, quelle liquide chanson flotte pour la tourterelle, qui écoute tandis qu’elle couve de son amour la lune ! Oh ! Des sonores cellules quel jaillissement d’euphonie sourd volumineusement ! Qu’il enfle, qu’il demeure parmi le Futur ! Qu’il dit le ravissement qui porte au branle et à la sonnerie des cloches (cloches, cloches - des cloches, cloches, cloches, cloches), au rythme et au carillon des cloches !
Entendez les bruyantes cloches d’alarme - cloches de bronze ! Quelle histoire de terreur dit maintenant leur turbulence ! Dans l’oreille saisie de la nuit comme elle crie leur effroi, trop terrifiées pour parler, elles peuvent seulement s’écrier hors de ton, dans une clameur d’appel à merci du feu, dans une remontrance au feu sourd et frénétique bondissant plus haut (plus haut, plus haut), avec un désespéré désir ou une recherché résolue, maintenant, de maintenant siéger, ou jamais, aux côtés de la lune à la face pâle. Oh ! Les cloches (cloches, cloches), quelle histoire dit leur terreur - de Désespoir ! Qu’elles frappent et choquent, et rugissent ! Quelle horreur elles versent sur le sein de l’air palpitant ! Encore l’ouïe sait-elle, pleinement, par le tintouin et le vacarme, comment tourbillonne et s’épanche le danger; encore l’ouïe dit-elle, distinctement, dans le vacarme et la querelle, comment s’abat ou s’enfle le danger, à l’abattement ou à l’enflure dans la colère des cloche, dans la clameur et l’éclat des cloches !
Entendez le glas des cloches - cloches de fer ! Quel monde de pensée solennelle comporte leur monodie ! Dans le silence de la nuit que nous frémissons de l’effroi ! À la mélancolie tenance de leur ton. Car chaque son qui flotte, hors la rouille en leur gorge - est un gémissement. Et le peuple - le peuple - ceux qui demeurent haut dans le clocher, tout seuls, qui sonnant (sonnant, sonnant) dans cette monotonie voilée, sentent une gloire à ainsi rouler sur le cœur humain en pierre - ils ne sont ni homme ni femme - ils ne sont ni brutes ni humains - ils sont des Goules : et leur roi, ce l’est, qui sonne ; et il roule (roule - roule), roule un Péan hors des cloches ! Et son sein content se gonfle dans ce Péan des cloches ! Et il danse, et il danse, et il hurle : allant d’accord (d’accord, d’accord) en une sorte de rythme runique, avec le tressaut des cloches - (des cloches, cloches, cloches), avec le sanglot des cloches; allant d’accord (d’accord, d’accord) dans le glas (le glas, le glas) en un heureux rythme runique, avec le roulis des cloches - (des cloches, cloches, cloches), avec la sonnerie des cloches - (des cloches, cloches, cloches, cloches, cloches, cloches - cloches, cloches, cloches) - le geignement et le gémissement des cloches.
Alcina- Messages : 1206
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Localisation : The land where corals lie
Re: Un rêve !
pour le texte russe, je laisse la main à Mrs D qui en sera ravie
C'est trop d'honneur !
Re: Un rêve !
Alors, Mrs D ? Un podcast avec l'accent de Saint-Petersburg, svp, merciiiiiiiiiiiiiiiiiiii !Mrs Dalloway a écrit:pour le texte russe, je laisse la main à Mrs D qui en sera ravie
C'est trop d'honneur !
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Chocking !Mrs Dalloway a écrit:I'm so sorry dear friend but vous pouvez aller vous brosser !
Invité- Invité
Re: Un rêve !
C'est un chock pas un shockMrs Dalloway a écrit:And the "S", where is the "S" ?
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Et ça vous a plu au fait ?
Alcina- Messages : 1206
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Localisation : The land where corals lie
Re: Un rêve !
en quelque sorte ( je suis recalé...)Mrs Dalloway a écrit:C'est une cale ?
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Sechs Frühe Lieder d'Alban Berg par Lucia Popp, chez BMG RCA VICTR RED SEAL, irwin Gage au piano, captation Studio 1991
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Je viens de terminer l'écoute d'Admetus, King of Thessaly dans la version anglaise dirigée en mai 1968 par Sir Anthony Lewis. Janet Baker y fait des merveilles. C'est sorti en 2004 chez Ponto.
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Je suis encore sous le choc.
Je viens d'entendre une magnifique Messe de Requiem :
*MESSA DA REQUIEM
New York Philharmonic Orchestra and Chorus Leonard BERNSTEIN
VISHNEVSKAYA Galina soprano
HORNE Marilyn mezzo-soprano
TUCKER Richard tenor
DIAZ Justino basse
Un enregistrement Live du 26 mars 11967 New York, originalement radiodiffusé.
Les tempi, la noirceur et l'espérance du Libera me : jamais entendu quelque chose de ce niveau quant à la direction.
Les solistes sont merveilleux. Quelle clarté il y avait dans la voix de Galina !
Une merveille absolue !!!
Je viens d'entendre une magnifique Messe de Requiem :
*MESSA DA REQUIEM
New York Philharmonic Orchestra and Chorus Leonard BERNSTEIN
VISHNEVSKAYA Galina soprano
HORNE Marilyn mezzo-soprano
TUCKER Richard tenor
DIAZ Justino basse
Un enregistrement Live du 26 mars 11967 New York, originalement radiodiffusé.
Les tempi, la noirceur et l'espérance du Libera me : jamais entendu quelque chose de ce niveau quant à la direction.
Les solistes sont merveilleux. Quelle clarté il y avait dans la voix de Galina !
Une merveille absolue !!!
Invité- Invité
Re: Un rêve !
Giustociel a écrit:Je suis encore sous le choc.
Je viens d'entendre une magnifique Messe de Requiem :
*MESSA DA REQUIEM
New York Philharmonic Orchestra and Chorus Leonard BERNSTEIN
VISHNEVSKAYA Galina soprano
HORNE Marilyn mezzo-soprano
TUCKER Richard tenor
DIAZ Justino basse
Un enregistrement Live du 26 mars 11967 New York, originalement radiodiffusé.
Les tempi, la noirceur et l'espérance du Libera me : jamais entendu quelque chose de ce niveau quant à la direction.
Les solistes sont merveilleux. Quelle clarté il y avait dans la voix de Galina !
Une merveille absolue !!!
Question stupide : mais le compositeur ?
Violetta- Messages : 2375
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Age : 44
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Re: Un rêve !
Sous l'appellation "Messa da Requiem", il n'y a que celui de Verdi ? non ?
Tu me mets le doute...
Tu me mets le doute...
Invité- Invité
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