Les contes d'Hoffmann - MET - La larme d'Anna
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Les contes d'Hoffmann - MET - La larme d'Anna
Calleja a finalement réussi à assurer le rôle jusqu'au bout alors que des signes de fatigue avaient marqué les représentations précédentes. Je ne dirais pas que son interprétation était particulièrement recherchée et fouillée en revanche, mais c'était sa prise de rôle... donc bon... Au passage : la prise de son ne rend pas totalement justice à sa voix, qui est bien plus agréable en salle.
Lindsey/Muse/Nicklausse : Bof. Scéniquement très convaincante : belle présence (elle est sur scène pratiquement tout du long) et investie et bien assurée, mais vocalement c'est très petit, peu (pas) de couleurs ou de nuances et de ce que j'ai entendu je ne suis pas sûre que cela soit très sonore. Là encore une prise de rôle je crois, donc avec les circonstances atténuantes, mais vraiment pas fantastoche du tout.
Held très honorable dans le rôle des 4 diables. Pas transcendant mais pas mal.
Kim donne une Olympia de poche (scéniquement) tout à fait agréable et convenable. Me suis laissée dire que cela sonnait relativement en salle pour ce type de voix.
Gubanova inintéressante au possible. Déçue car sa Brangaene l'année dernière m'avait plus attirée que l'Isolde (malade) de Meier. Barcarolle bien ratée avec Lindsey : cela ne ressemble à rien du tout. Aucune sensualité, deux voix ne se mariant absolument pas (comment peut-on rater à ce point ce tube immmanquable ? et 3è acte bazardé vite fait d'une manière générale, la version retenue n'aidant pas.
Netrebko... fatiguée et propablement stressée qui donne une représentation intense et bizarre du coup. Mis à part le prologue où on la voit en Stella, on l'aperçoit d'abord pendant que Voigt interviewe le metteur en scène derrière le rideau : on la voit se placer sur scène en faisant l'andouille, dansant et faisant des grimaces.
Français qui s'est amélioré, mais toujours un peu bouillie, mais à côté des autres, rien de rédhibitoire.
Elle aborde la tourterelle manifestement tendue comme un string. Quand j'entends "Ella a fui... respiiiiiiiiration... la tourterelle", (ce qu'elle n'a pas fait les autres soirées) je me dis de suite "et mince -version censurée- elle est mal ou elle flippe". L'air n'est pas franchement raté sinon, mais pas vraiment réussi non plus. Clairement pas au mieux Nenette.
Mais dès le duo avec Hoffmann, cela va mieux. Cela retrouve de la vie. Et elle emballe le trio avec une conviction impressionnante, se consumant littéralement sur scène. Au moment où Antonia meurt, ses yeux brillent bizarrement et quand elle reprend le thème d'une chanson d'amour, une énorme larme coule de son oeil droit et vient s'écraser sur sa joue... euh... j'ai juste halluciné !!!
Trille à peine ébauché, qui se transforme en bouillie tout de suite... elle n'en pouvait plus.
Air d'êre éclatée de fatigue pendant le final de Hoffmann, mais bon, on n'entend qu'elle.
La caractérisation du personnage est loin des Antonia souffreteuses totalement innocentes et naïves entendues habituellement. Et même si la vision "naïve" se défend, je pense que c'est elle qui a raison et qu'elle a tout compris à la musique et au livret en l'occurrence ! Sa pâte vocale lui permet d'ailleurs d'assumer totalement cette vision qui me séduit assez fortement et qui me fait penser que c'est carrément cela que j'ai envie d'entendre chez Antonia.
On a ici une fille qui veut chanter, brûle de le faire et qui en réalité ne demande qu'à être tentée plus qu'une gentille victime.
En fait je pense qu'elle était complètement crevée : elle était bizarre en interview, un peu stone ou à l'ouest.
Quand en coulisses Voigt lui demande comment elle fait pour vivre et chanter cette merveilleuse musique en même temps et... blanc... l'autre ne répond pas et est re-presque prête à craquer.
(au fait, j'adore définitivement cette fille !)
Belle direction de Levine qui a assuré au final.
Quant à la prod... bah euh... bof... ça se laisse regarder, mais franchement c'est un peu un mélange de tout et n'importe quoi.
Le prologue commence avec Stella et Hoffmann se roulant des gamelles, puis Stella n'arrive pas à retenir vraiment Hoffmann (à moitié torché) qui va s'écrouler sur sa machine à écrire. Elle se casse peu contente et nargue la muse, qui évidemment devient colère. Dans le décor, on voit Olympia et Giulietta, mais pas Antonia puisque c'est Netrebko qui fait déjà Stella. donc dès le départ, ça cloche à mon avis. Il aurait fallu une 4è personne pour faire Stella, d'autant que si le but était de faire chanter le final à Netrebko, elle le fait en Antonia, donc cela ne changeait rien !
Lindorf arrive, et en fait est de mèche avec la Muse : d'ailleurs tout du long ils vont comploter ensemble pour faire capoter les histoires de Hoffmann.
Blabal, on arrive à la taverne, pas mal rendue.
Olympia... oui, quelques bonnes idées, mais on sent que le mec a rempli la scène à mort avec tout et n'importe quoi. je ne suis pas sûre d'avoir vraiment compris où il voulait en venir. Visuellement c'est tape-à-l'oeil, mais bon... sans apporter grand-chose en fait.
Antonia : décor minimaliste... un grand drap par terre, des arbres sombres dans le fon. Un piano (ou clavecin). Il ne s'est carrément pas foulé pépère là. Antonia doit se contenter d'avancer lentement de l'arrière-scène à l'avant dans son air... super pour se mettre en condition et rendre cet air un peu intéressant...
Sa mère arrive de loin derrière dans un effet qui n'en est pas un...
Heureusement que Nenette s'agite pendant le trio, sinonvoilà, rien ne se passe;
3è acte raté.
Venise au 18è ou pendant le carnaval... courtisanes en sous-vêtements... en fait il ne se passe rien. C'ets chargé visuellement, mais question mise en scène au sens strict... le vide (sauf 3 Olympias qui viennent crever devant Hoffmann). En même temps l'acte est réduit au minimum. (barcarolle, bref duo Hoffmann/Giulietta, septuor et j'oublie 1 ou 2 trucs et basta).
L'épilogue mélange des éléments du prologue avec ceux du 3è acte, notamment dans les costumes. On revoit un peu des Olympias partout. Toujours pas d'Antonia, ce qui fait encore bizarre.
Stella arrive au bras de Lindorf, se fait envoyer péter, repart contrariée en se drapant dans sa dignité, son chinchilla je veux dire. Ce qui lui laisse le temps de revenir en Antonia pour le final, qu'elle chante pendant que Giulietta et Olympia ferment leur gueule (il faudra m'expliquer).
Quand elles finissent par l'ouvrir, cela ne change rien, on ne les entend pas.
Bref, pas trop convaincue par ces contes. Cela passe, mais bon...
Sinon, en interview, on a aussi eu droit à Rototo et sexy Mariusz !!!!!!!!!!!!!!
Très en forme eux et égaux à eux-mêmes.
Voigt a fait de la pub pour des donations au MET, pour le Met shop (elle portait une étolle et un collier qu'elle nous invitait à acheter...) trop bizarre.
Franchement Kwiecien (très en beauté, il faisait super jeune et frais en plus) a écrabouillé Alagna par ses réponses de classe, de simplicité, de naturel et d'évidence à côté de l'autre, qui n'a pas pu s'empêcher de dire qu'il avait encore un pet de travers car il s'était fait bobo au doigt en répétant et de montrer sa main meurtrie (élongation du doigt !) !
Au fait, Kwiecien a juste mieux compris les rapports Don José-Carmen, alors qu'il joue Escamillo, que Alagna qui chante ça depuis un bail.
En gros Alagna pense que Carmen aime don José car il est "beau et dangereux" (dit avec un gros sourire de beauf en se désignant lui-même... comme pour signifier que don José c'était lui... !)...
Bientôt, Alagna se coupe avec une enveloppe en ouvrant une lettre sur scène... et annule la rerépsentation qui suit.
Lindsey/Muse/Nicklausse : Bof. Scéniquement très convaincante : belle présence (elle est sur scène pratiquement tout du long) et investie et bien assurée, mais vocalement c'est très petit, peu (pas) de couleurs ou de nuances et de ce que j'ai entendu je ne suis pas sûre que cela soit très sonore. Là encore une prise de rôle je crois, donc avec les circonstances atténuantes, mais vraiment pas fantastoche du tout.
Held très honorable dans le rôle des 4 diables. Pas transcendant mais pas mal.
Kim donne une Olympia de poche (scéniquement) tout à fait agréable et convenable. Me suis laissée dire que cela sonnait relativement en salle pour ce type de voix.
Gubanova inintéressante au possible. Déçue car sa Brangaene l'année dernière m'avait plus attirée que l'Isolde (malade) de Meier. Barcarolle bien ratée avec Lindsey : cela ne ressemble à rien du tout. Aucune sensualité, deux voix ne se mariant absolument pas (comment peut-on rater à ce point ce tube immmanquable ? et 3è acte bazardé vite fait d'une manière générale, la version retenue n'aidant pas.
Netrebko... fatiguée et propablement stressée qui donne une représentation intense et bizarre du coup. Mis à part le prologue où on la voit en Stella, on l'aperçoit d'abord pendant que Voigt interviewe le metteur en scène derrière le rideau : on la voit se placer sur scène en faisant l'andouille, dansant et faisant des grimaces.
Français qui s'est amélioré, mais toujours un peu bouillie, mais à côté des autres, rien de rédhibitoire.
Elle aborde la tourterelle manifestement tendue comme un string. Quand j'entends "Ella a fui... respiiiiiiiiration... la tourterelle", (ce qu'elle n'a pas fait les autres soirées) je me dis de suite "et mince -version censurée- elle est mal ou elle flippe". L'air n'est pas franchement raté sinon, mais pas vraiment réussi non plus. Clairement pas au mieux Nenette.
Mais dès le duo avec Hoffmann, cela va mieux. Cela retrouve de la vie. Et elle emballe le trio avec une conviction impressionnante, se consumant littéralement sur scène. Au moment où Antonia meurt, ses yeux brillent bizarrement et quand elle reprend le thème d'une chanson d'amour, une énorme larme coule de son oeil droit et vient s'écraser sur sa joue... euh... j'ai juste halluciné !!!
Trille à peine ébauché, qui se transforme en bouillie tout de suite... elle n'en pouvait plus.
Air d'êre éclatée de fatigue pendant le final de Hoffmann, mais bon, on n'entend qu'elle.
La caractérisation du personnage est loin des Antonia souffreteuses totalement innocentes et naïves entendues habituellement. Et même si la vision "naïve" se défend, je pense que c'est elle qui a raison et qu'elle a tout compris à la musique et au livret en l'occurrence ! Sa pâte vocale lui permet d'ailleurs d'assumer totalement cette vision qui me séduit assez fortement et qui me fait penser que c'est carrément cela que j'ai envie d'entendre chez Antonia.
On a ici une fille qui veut chanter, brûle de le faire et qui en réalité ne demande qu'à être tentée plus qu'une gentille victime.
En fait je pense qu'elle était complètement crevée : elle était bizarre en interview, un peu stone ou à l'ouest.
Quand en coulisses Voigt lui demande comment elle fait pour vivre et chanter cette merveilleuse musique en même temps et... blanc... l'autre ne répond pas et est re-presque prête à craquer.
(au fait, j'adore définitivement cette fille !)
Belle direction de Levine qui a assuré au final.
Quant à la prod... bah euh... bof... ça se laisse regarder, mais franchement c'est un peu un mélange de tout et n'importe quoi.
Le prologue commence avec Stella et Hoffmann se roulant des gamelles, puis Stella n'arrive pas à retenir vraiment Hoffmann (à moitié torché) qui va s'écrouler sur sa machine à écrire. Elle se casse peu contente et nargue la muse, qui évidemment devient colère. Dans le décor, on voit Olympia et Giulietta, mais pas Antonia puisque c'est Netrebko qui fait déjà Stella. donc dès le départ, ça cloche à mon avis. Il aurait fallu une 4è personne pour faire Stella, d'autant que si le but était de faire chanter le final à Netrebko, elle le fait en Antonia, donc cela ne changeait rien !
Lindorf arrive, et en fait est de mèche avec la Muse : d'ailleurs tout du long ils vont comploter ensemble pour faire capoter les histoires de Hoffmann.
Blabal, on arrive à la taverne, pas mal rendue.
Olympia... oui, quelques bonnes idées, mais on sent que le mec a rempli la scène à mort avec tout et n'importe quoi. je ne suis pas sûre d'avoir vraiment compris où il voulait en venir. Visuellement c'est tape-à-l'oeil, mais bon... sans apporter grand-chose en fait.
Antonia : décor minimaliste... un grand drap par terre, des arbres sombres dans le fon. Un piano (ou clavecin). Il ne s'est carrément pas foulé pépère là. Antonia doit se contenter d'avancer lentement de l'arrière-scène à l'avant dans son air... super pour se mettre en condition et rendre cet air un peu intéressant...
Sa mère arrive de loin derrière dans un effet qui n'en est pas un...
Heureusement que Nenette s'agite pendant le trio, sinonvoilà, rien ne se passe;
3è acte raté.
Venise au 18è ou pendant le carnaval... courtisanes en sous-vêtements... en fait il ne se passe rien. C'ets chargé visuellement, mais question mise en scène au sens strict... le vide (sauf 3 Olympias qui viennent crever devant Hoffmann). En même temps l'acte est réduit au minimum. (barcarolle, bref duo Hoffmann/Giulietta, septuor et j'oublie 1 ou 2 trucs et basta).
L'épilogue mélange des éléments du prologue avec ceux du 3è acte, notamment dans les costumes. On revoit un peu des Olympias partout. Toujours pas d'Antonia, ce qui fait encore bizarre.
Stella arrive au bras de Lindorf, se fait envoyer péter, repart contrariée en se drapant dans sa dignité, son chinchilla je veux dire. Ce qui lui laisse le temps de revenir en Antonia pour le final, qu'elle chante pendant que Giulietta et Olympia ferment leur gueule (il faudra m'expliquer).
Quand elles finissent par l'ouvrir, cela ne change rien, on ne les entend pas.
Bref, pas trop convaincue par ces contes. Cela passe, mais bon...
Sinon, en interview, on a aussi eu droit à Rototo et sexy Mariusz !!!!!!!!!!!!!!
Très en forme eux et égaux à eux-mêmes.
Voigt a fait de la pub pour des donations au MET, pour le Met shop (elle portait une étolle et un collier qu'elle nous invitait à acheter...) trop bizarre.
Franchement Kwiecien (très en beauté, il faisait super jeune et frais en plus) a écrabouillé Alagna par ses réponses de classe, de simplicité, de naturel et d'évidence à côté de l'autre, qui n'a pas pu s'empêcher de dire qu'il avait encore un pet de travers car il s'était fait bobo au doigt en répétant et de montrer sa main meurtrie (élongation du doigt !) !
Au fait, Kwiecien a juste mieux compris les rapports Don José-Carmen, alors qu'il joue Escamillo, que Alagna qui chante ça depuis un bail.
En gros Alagna pense que Carmen aime don José car il est "beau et dangereux" (dit avec un gros sourire de beauf en se désignant lui-même... comme pour signifier que don José c'était lui... !)...
Bientôt, Alagna se coupe avec une enveloppe en ouvrant une lettre sur scène... et annule la rerépsentation qui suit.
Dernière édition par Violetta le Lun 21 Déc - 3:51, édité 2 fois
Violetta- Messages : 2375
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Re: Les contes d'Hoffmann - MET - La larme d'Anna
Violetta a écrit:.
Sinon, en interview, on a aussi eu droit à Rototo et sexy Mariusz !!!!!!!!!!!!!!
Franchement Kwiecien (très en beauté, il faisait super jeune et frais en plus) a écrabouillé Alagna par ses réponses de classe, de simplicité, de naturel et d'évidence
Hyper sympa, sans maquillage, Mariusz, ce doit être un très bon acteur quand on voit ce qu'il a donné dans Lucia !
La Vioque- Messages : 1313
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Re: Les contes d'Hoffmann - MET - La larme d'Anna
La Vioque a écrit:Violetta a écrit:.
Sinon, en interview, on a aussi eu droit à Rototo et sexy Mariusz !!!!!!!!!!!!!!
Franchement Kwiecien (très en beauté, il faisait super jeune et frais en plus) a écrabouillé Alagna par ses réponses de classe, de simplicité, de naturel et d'évidence
Hyper sympa, sans maquillage, Mariusz, ce doit être un très bon acteur quand on voit ce qu'il a donné dans Lucia !
Merci pour ce beau CR ! Il y a des témoignages vidéos de la larme ?
J'avais été impressionnée par Held dans Fidelio l'an dernier, je me demandais où on pouvait l'entendre maintenant ; apparemment c'était bien mais pas top d'après ce que tu dis. C'est bien dommage pour Gubanova, le répertoire ne lui va peut-être pas aussi bien ? parce que ses appels de Brangaene l'an dernier, déchirants de beauté...
PS : Mariusz, même passant devant Bastille en civil avec un pauvre sac plastique fnac à la main et un polo à rayures, il est bôôôô...
Ce ne serait rien s'il n'avait pas aussi une p... de voix... Ahh, le roi Roger...
Alcina- Messages : 1206
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Re: Les contes d'Hoffmann - MET - La larme d'Anna
J'imagine qu'il y aura témoignage vidéo de la larme, puisque généralement les représentations transmises en HD sont diffusées sur certaines chaînes US et sortent ensuite en DVD.
Je ne sais pas si elle l'a fait exprès ou si elle s'est laissée embarquer par le truc, mais c'était énorme (et dans les deux cas très fort).
Oui, Gubanova, c'était décevant, car sa Brangäne était vraiment bien. Là, rien ! mais en même temps, la mise en scène et le découpage de l'acte 3 ne l'aidaient vraiment pas.
Si Held, ça allait plutôt bien.
Mariusz...
Je ne sais pas si elle l'a fait exprès ou si elle s'est laissée embarquer par le truc, mais c'était énorme (et dans les deux cas très fort).
Oui, Gubanova, c'était décevant, car sa Brangäne était vraiment bien. Là, rien ! mais en même temps, la mise en scène et le découpage de l'acte 3 ne l'aidaient vraiment pas.
Si Held, ça allait plutôt bien.
Mariusz...
Violetta- Messages : 2375
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Re: Les contes d'Hoffmann - MET - La larme d'Anna
Alcina a écrit: Il y a des témoignages vidéos de la larme ?
Voilà... on ne voit pas grand-chose car la vidéo est sombre, mais à 0'20. (au ciné, sur grand écran évidemment, "ça le faisait")
(Bon, elle sait écraser sa larme sur demande mais pas triller, OK... )
Violetta- Messages : 2375
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