Re: OTAN suspends ton vol ! comme dirait le général De Gaulle

[Invité]

Je mets au défi les poétesses du forum de pondre un poème sur Joyce avec des rimes en -oyce (et variées s'il vous plaît) !

J'espère que tu ne me mets pas dans les poétesses, ni Adhoc

[Godasse]

Je mets au défi les poétesses du forum de pondre un poème sur Joyce avec des rimes en -oyce (et variées s'il vous plaît) !

I'm found of your voice
I have no choice
I just love you Joyce

[Violetta]

Dear and so fantastic Joyce,
When I hear you I rejoice !

Oh et puis voilà, pourquoi faire long quand l'essentiel est dit ?

[Godasse]

Yes !!

[Mrs Dalloway]

Pas mal mais rejoice et Joyce, c'est trop commun !

[Invité]

Yes !!

Quel beau poème, concis : c'est un monosyllabe ?

[Godasse]

Ouais ! moi c'est plus mieux !!

[Godasse]

Yes !!

Quel beau poème, concis : c'est un monosyllabe ?

C'est une sorte d'hymne à la joie pour avoir relevé le défi !

[Violetta]

Yes !!

Quel beau poème, concis : c'est un monosyllabe ?

Oui, mais elle a oublié de préciser le titre :

"Discussion de la nature des fondements de l'être et de l'inconscient qui de manière révérencieuse prend à partie la beauté de la nature et son aspect universel autour de la construction métaphysique de la pensée structurelle du néant abscons de notre enthousiasme".

[Godasse]

Yes !!

Quel beau poème, concis : c'est un monosyllabe ?

Oui, mais elle a oublié de préciser le titre :

"Discussion de la nature des fondements de l'être et de l'inconscient qui de manière révérencieuse prend à partie la beauté de la nature et son aspect universel autour de la construction métaphysique de la pensée structurelle du néant abscons de notre enthousiasme".

On dirait que tu es comme qui dirait en retard de quelques minutes...

[Invité]

C’est l’automne

A l’heure où les enfants ramassent
Les marrons et les feuilles fanées
Aujourd’hui un peu lasse
Je laisse voyager mes pensées
Je pense à mes enfants
A celle que je fûs
Je pense à ma maman
A celle qui n’est plus

Et pourtant aujourd’hui
Un peu moins de tristesse
Il n’y a dans mon esprit
Qu’un élan de tendresse

Quand je ferme les yeux
Et observe ma vie
Je pense, et c’est curieux
Que je suis moi aussi
Une maman sur qui
L’avenir de deux êtres
Repose et c’est ainsi
Que tu continues à être

Celle que tu étais
Celle qui n’est plus là
Celle qu’on aimait
Et qu’on n’oublie pas

[Invité]

LA ROUE TOURNE

Alors que tourmenté sur ma planche de supplice
Je songeais aux souffrances des martyrs pour leur Foi
De peur de dévoiler le nom de mes complices
Convoitais le courage des Parfaits d'autrefois

[Invité]

Oui, mais elle a oublié de préciser le titre :

"Discussion de la nature des fondements de l'être et de l'inconscient qui de manière révérencieuse prend à partie la beauté de la nature et son aspect universel autour de la construction métaphysique de la pensée structurelle du néant abscons de notre enthousiasme".

Toi tu as le génies des titres !

[Violetta]

LA ROUE TOURNE

Alors que tourmenté sur ma planche de supplice
Je songeais aux souffrances des martyrs pour leur Foi
De peur de dévoiler le nom de mes complices
Convoitais le courage des Parfaits d'autrefois

Le titre relève du génie !



Mais les Parfaits étaient aussi de grands malades !
(Avec tout le respect pour leur foi et leurs souffrances, bien sûr)

[Invité]

LA ROUE TOURNE

Alors que tourmenté sur ma planche de supplice
Je songeais aux souffrances des martyrs pour leur Foi
De peur de dévoiler le nom de mes complices
Convoitais le courage des Parfaits d'autrefois

Le titre relève du génie !

Je n'en suis pas peu fier. C'est ça le talent !

[Invité]

C’est l’automne

A l’heure où les enfants ramassent
Les marrons et les feuilles fanées
Aujourd’hui un peu lasse
Je laisse voyager mes pensées
Je pense à mes enfants
A celle que je fût
Je pense à ma maman
A celle qui n’est plus

Et pourtant aujourd’hui
Un peu moins de tristesse
Il n’y a dans mon esprit
Qu’un élan de tendresse

Quand je ferme les yeux
Et observe ma vie
Je pense, et c’est curieux
Que je suis moi aussi
Une maman sur qui
L’avenir de deux êtres
Repose et c’est ainsi
Que tu continues à être

Celle que tu étais
Celle qui n’est plus là
Celle qu’on aimait
Et qu’on n’oublie pas

Faut arrêter le Bordeaux !

[Violetta]

C’est l’automne

A l’heure où les enfants ramassent
Les marrons et les feuilles fanées
Aujourd’hui un peu lasse
Je laisse voyager mes pensées
Je pense à mes enfants
A celle que je fût
Je pense à ma maman
A celle qui n’est plus

Et pourtant aujourd’hui
Un peu moins de tristesse
Il n’y a dans mon esprit
Qu’un élan de tendresse

Quand je ferme les yeux
Et observe ma vie
Je pense, et c’est curieux
Que je suis moi aussi
Une maman sur qui
L’avenir de deux êtres
Repose et c’est ainsi
Que tu continues à être

Celle que tu étais
Celle qui n’est plus là
Celle qu’on aimait
Et qu’on n’oublie pas

C'est triste dans le fond, non ?
Mais effectivement, à l’heure où les enfants ramassent des marrons, je pense qu'il est bon de garder un peu d'innocence et une belle image de l'amour !

[Invité]

C'est triste dans le fond, non ?
Mais effectivement, à l’heure où les enfants ramassent des marrons, je pense qu'il est bon de garder un peu d'innocence et une belle image de l'amour !

oui, c'est triste, comme quand ils ramassent des châtaignes

[Invité]

A CHACUN SA CROIX

A Lanerzagut, la filation par dizaine
Attend pour manger ma cachette de l'opéra
Ma charge est soigner ma famille que j'aime
En chantant la stretta di tenor di grazia

Il coule la larme furtive du Nemorino
Quand allarmé il a signé las pour partir
Il sait pas encore qu'il a gagné le gros lot
Et qu'Adina, la belle, il saura revenir

(il y a des astuces, je dis pour la Violette )

[Violetta]

A CHACUN SA CROIX

A Lanerzagut, la filation par dizaine
Attend pour manger ma cachette de l'opéra
Ma charge est soigner ma famille que j'aime
En chantant la stretta di tenor di grazia

Il coule la larme furtive du Nemorino
Quand allarmé il a signé las pour partir
Il sait pas encore qu'il a gagné le gros lot
Et qu'Adina, la belle, il saura revenir

(il y a des astuces, je dis pour la Violette )

Merci !
Et heureusement que la belle Adina
De Belcore a racheté le contrat.
Car pour partir à l'armée,
Nemorino était Mallarmé.

[Invité]

littéralement pété de rire... merci Violettaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

[Invité]

littéralement pété de rire... merci Violettaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

et tu lui mets même pas un +1

ça mérite un -1 alors

[Violetta]

littéralement pété de rire... merci Violettaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

Il faut dire qu'il y avait une sacrée perche dans ton poème précédent !
Il ne faut donc pas s'alarmer de mes jeux de mots faciles.

[Invité]

A ENIRAC-LA-BELGE :

Je fais la comme je veux à cause c'est l'homme qui commande dans ma jolie pays, pas les pouffes, ok ?

[Violetta]

Je fais la comme je veux à cause c'est l'homme qui commande dans ma jolie pays, pas les pouffes, ok ?

Euh... tu n'utilises pas "pouffe" par opposition à "homme", si ?

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